L'Histoire de Fonkin Ible Fynd Ocear Uniolas Nigel dit Fifou Nigel

Ce dossier, ce rassemblement de document, n'existe pas.
En lisant ces pages vous n'etes plus des personnages du monde de DD.
Vous etes omnicients.
En revanche tous les document que vous allez lire existent quelque part dans le monde de donjon dragon.
Les atomes qui composent ces informations sont présents dans la dimension de DD car "tous se transforment et rien ne se perd".
En effet certains document sont, au moment ou sont les personnages que vous jouez, sont à l'état de cendre, ou bien à l'état de pensée car parfois les dit docs ne sont pas écris mais racontés.

Voici donc mes amis, clem, JV, Djo, Nico, Jerem, Guillem et tous autres joueurs DD du monde materiel d'abraham, Jésus, Jule, Mohamed, Charlemagne, Averoes, Léonard, Henri, Benjamin, jean batiste, George, Charles, Honoré, Louis, Wilbur, Woodrow, Joseph, Wiston, Charles, et de Jean jacques, voici l'histoire,dans le monde de Dongeon et Dragon, l'histoire
de Fonkin
Ible
Fynd
Ocear
Uniolas Nigel dit Fifou Nigel.

Le document suivant est une lettre de Fifou à son ami elfe Joanno Da Vicen, un noble de la contré elfique d'Anadriédë. Elle fut écrite un mois avant la rencontre du petit gnome avec Durnin, Corwin, Emilios et les autres.
Ce document est actuellement dans la bibliothèque du château de celui-ci. Joanno est actuellement (au stade ou en sont nos persos - raph) mort après 863ans passé sur terre. Ce détail aura son importance plus tard, beaucoup plus tard.
La lettre est écris en elfique, bien que les erreurs de grammaire soient nombreuses.

« Mon cher Jyvi,
tu es le seul ami en qui j'ai une confiance absolu malgré le peu de temps que nous avons passé ensemble. Tu m’as demandé de te raconter d’où je venais. Souviens toi je ne t’ai jamais répondu. Tu insistais. Je vais répondre dans cette lettre à ta question. Je vais te raconter mon histoire. Promets moi simplement de ne jamais être triste ou de pleurer en lisant cette histoire. Souviens toi, je veux qu'en passant à moi on rit; Je veux marquer la vie des gens par la joie car c'est le sens réel de ce monde; ma vie n'a qu'un but: mettre du bonheur dans ce putain de monde à la con de malheur. (Les gros mots ne sont pas elfique car il n'en existe pas. Ils sont en gnome dans le texte).
J'essaierai d'être fidèle à la réalité des faits.

Il y avait, il y a une soixantaine d’années, dans la ville de Lyon que tu connais bien, un luthier gnome au talent immense.
(Lyon est une ville humaine mais tellement commerciale que toutes les races y sont présentes. C'est l'une des plus grandes villes en bas des montagnes noires, aux berges du Vulg, fleuve principal de la région et qui se jette quelques lieux plus loin dans la Mer Sale.
(Lyon se situe dans le compté de Glois. Ce conté est dirigé par un roi nain et par un parlement, majoritairement composé de nain mais comprenant des humains et des gnomes. A cette époque et toujours aujourd'hui, le roi Eragor I gouverne. C'est un tyran, qui est parvenu à reléguer le parlement au rôle de "chambre du conseil". Son pouvoir est grand mais il n'ose en abuser car il craint les révolutions.
(Lyon a été créée avant même la fondation du royaume par un clan d’humain appelé Aray. C'est pour cela que Lyon est qualifié d'humaine, bien que le nombre de nain soit aujourd'hui égal à celui des humains.
(C'est une ville très ancienne regroupant de nombreux temples, surtout de Pélor. Certains temples sont tellement ancestraux que les Vieux, du Conseil des Sages qui sont les dirigeants de la ville, prétendent qu’ils ont été construits au temps où les hommes étaient encore des singes, et les nains encore de la roche.
(Cette ville était à cette époque accueillante et très calme : les conflits et les guerres n’étaient pas)

Ce luthier, du nom de d’Océar Nackel avait un don : les instruments qu’il créait produisaient des notes d’une perfection et d’une beauté saisissante. Le plus mauvais de tous les musiciens et de tous les non-musiciens jouaient une jolie note sur les violes ou les violes de gambe de ce prodigieux petit gnome luthier. Cependant, malgré ce talent il n’était pas très reconnu, car lorsque qu’on lui achetait on prenait le résultat pour ses propres capacités plutôt que sur la qualité des instruments. Cependant certains musiciens le recommandaient à leurs élèves car ils savaient le don d’Océar. Beaucoup ont cherché à savoir comment Océar s’y prenait pour donner à ses instruments cette qualité mais celui-ci gardait son secret bien pour lui. Certains affirment qu’Océar, étant barde autrefois avait appris la magie musicale de ces vagabonds et l’utilisait encore dans son nouveau métier ; d’autres prétendaient qu’il utilisait un bois spécial connu de lui seul. Quoiqu’il en soit il semblait qu’Océar confierai son secret qu'à son descendant, et à lui seul.
Océar était marié à une humaine. Celle-ci était tellement petite pour sa race, et lui-même tellement grand pour la sienne qu’il la dépassait de quelques millimètres. Elle s’appelait Ségolène et elle était très belle ; malgré sa petite taille elle était parfaitement proportionnée et elle valait la peine qu’on s’arrêta pour la regarder. Lui-même séduisant, ils formaient un très beau couple "extra-racial". Personne ne se choquait de cette union qui était très singulière, même à Lyon, à part quelques vieux racistes gnomes et humains qui prétendaient chacun que leur race était supérieure aux autres.
Ségolène et Océar Nackel c’était rencontré à la pêche, mais j’en ignore les circonstances. Je sais juste qu’ils se sont plus tout de suite : elle parcequ'il avait une étonnante facilité à dire tout et n’importe quoi, lui parce qu’elle ressemble à une déesse de la beauté qu’on aperçoit parfois dans les marécages de la conté du Footlower. Mais lorsqu’il la demanda en mariage,il ya 66ans, elle refusa et personne n’a jamais su pourquoi. (Ce détail aura son importance plus tard) Mais elle finit par accepter. Il devint luthier, ils eurent cinq enfants : un garçon et quatre filles. Et elle mourut dans les bras d'Océar à l'age de 65ans peandant la révolution de Catrevinne-euf Lui il est mort une semaine aprés à l'age 122ans.
Si je te raconte l’histoire de ce couple c’est parce qu’ils ont failli devenir mes parents. Dans le quartier on les appelle le couple Nackel.

Ce que je vais te raconter ensuite, personne à par moi et quelques gens le savent. Les conditions de ma naissance m’ont été racontées par la plus grande fille d’Océar. Elle n’avait alors que 5 ans. Ma mère, à sa mort, m’a confié une lettre me racontant avec de plus grands détails le sens réel de ma vie. Je ne l’ai jamais bien connu. J’avais environ 20 ans quand elle est morte. Je ne savais pas lire. (Ce détail aura son importance plus tard) Un peu avant la naissance de la seconde fille d’Océar, un barde elfe boiteux et à demi sourd vint lui acheter sa plus belle viole. Il y dépensa toute sa bourse. Océar remarqua qu’il jouait divinement bien, même pour un elfe. L’elfe alla s’assoir au coin d’une rue un peu plus loin mais toujours dans le quartier de Cieldan.
(Le quartier Cieldan est le quartier le plus pauvre de Lyon. Les pauvres gens y vivaient heureux comme ils le pouvaient jusqu'à ce que les évènements qui vont seront raconté arrivent. Les maisons sont en briques noires provenant des mines de la région et les toits en chaume, les plus riches en ardoises. Les rues sont en pavés. Il existe de nombreux caniveaux et des labyrinthes d’égout souterrains allant s’évacuer dans le Vulg. Les boutiques sont principalement des boulangeries, des boucheries, des pâtisseries. Les habitants mangent à leur faim. Les quartiers riches s’y fournissent en nourriture préférant les boutiques de vêtements, et d’orfèvreries qui faisaient la réputation de Lyon. Lyon était une belle ville ou il faisait bon vivre. )

L’elfe passa le reste du siècle à jouer de sa viole. Il enchantait les rues de sa belle musique. La nuit il disparaissait pour réapparaitre le matin. Il était discret et les habitants finirent par s’y habituer. Ils l’appelaient « Amadeus » (en halfelin : « le boiteux »).
Peu après son arrivé, quelques semaine tout au plus, une pauvre esclave gnome vint l’écouter. Elle travaillait dure pour une famille de boulangé qui l’avait acheté à sa naissance. (Ce détail aura son importance plus tard) Le nom de la famille est « Isor ». (Je n’ai pas d’autres informations sur cette famille) Elle était timide et avait grandi avec des humains. Elle acceptait son sort ; elle avait prés de 63ans ; elle travaillait dure comme Cosette. (Expression elfe venant d’un célèbre roman « Les Misérables » de Vimar Hogu, auteur elfe très connu ou l’héroïne travail jusqu'à la mort pour gagner sa vie). Elle allait chercher l’eau à la fontaine, (Le système de pression pour amener l’eau dans les maisons inventé par les ingénieurs gnomes et nains n’était utilisé que dans les quartiers riches à Lyon.) pétrissait la pate, faisait la cuisine et le ménage de la famille Isor, pendant toute la journée, et ce, depuis ses 11ans. Sa vie jusqu'à ce jour n’était que du malheur. Mais comme elle ne connaissait pas le bonheur elle ne s’en plaignait pas. Un jour pourtant elle le connu grâce à Amadeus. Elle s’arrêtait souvent pour l’écouter, en allant cherché l’eau ce qui lui attirait des coups de bâton de la part du père Isor. Ces moments de repos à écouter de la jolie musique était pour elle délicieusement reposant et agréable. La musique était belle et envoutante. Elle se laissait bercer par elle. Un jour elle laissa son seau d’eau et se mit à danser. Elle était belle, il parait. Les gens s’arrêtaient pour la regarder. Un gnome, sans doute un vagabond d’après les témoignages que j’ai pu recueillir, dansa avec elle. Le lendemain il revint et dansa avec elle. Le surlendemain aussi. Pendant sept jours ils se revirent et elle tomba amoureuse de lui. Il l’invita dans sa chambre… Je crois que se fut la plus belle semaine de la vie de ma mère, la pauvre esclave gnome.
Je sais cela par la petite Nackel qui avait 10 ans et savait à peine parler ; elle était une amie de la fille du propriétaire de l’auberge « George » et y allait parfois pour jouer. Elle avait surpris mon père et ma mère ensemble. Elle me conta aussi que le gnome mystérieux, dont personne ne connaissait le nom, pas même l’aubergiste, ne revint plus jamais, laissant ma mère seule après l’avoir racheté puis affranchie à l’aube le lendemain. Elle fut recueillie par des fermiers du nom d’Ingalls dans la banlieue sud de Lyon. J’y suis né. Elle y est morte à mes 23ans (environ, je ne suis pas sur de ma date de naissance) et à ses 86ans (je connais sa date de naissance grace à son acte d'achat pas les Isors. Je l'ai retrouvé tout à fait par hasard dans le coffre de la famille, seul meuble qui n'ai pas brulé dans l'incendie qui détruisi la boulangerie quatre ans aprés que ma mère fut affranchi)
J’ai peur de te raconter toute la vérité sur ma naissance ou plutôt ma provenance.

Mon ami, je te raconterai tous en détail dans ma prochaine lettre, car j’ai peur de ta réaction vis-à-vis de moi.
Sache simplement que tout ce que je t’ai racontait là est la vérité, et tout est utile pour connaitre la suite de mon histoire.

A bientôt mon ami,
Fonkin, que tu aimes à appeler Fifou. »

Trois jours après avoir lu cette lettre, Joanno est mort emporté par le temps qui finit par tous nous rattraper. Celui de la vieillesse et du moulin qui tourne grâce à l’eau. Fifou l’appris et n’écrivis plus de lettre sur son passé et n’en parla plus à personne, ou du moins avec cette gravité là.